Évènement « hors format » pour terminer la saison. Après le déjeuner presque intime à Mons le mois précédent, le diner à Paris a connu une affluence record : 55 convives, venus d’un peu partout y compris de Belgique, de Suisse et de cette nouvelle cryptonation francophone qu’est le Portugal, où aura lieu le repas de « rentrée », le 22 septembre.
Un cadre nouveau: celui des « Écuries » de la rue Bachaumont, plutôt cave ou cellier d’ailleurs qu’écuries, un lieu bien connu désormais dans le Sentier parisien.
Une quarantaine de convives étaient déjà présents sur place en fin d’après midi pour la réunion trimestrielle du Cercle du Coin dignement présidée par Adli Takkal-Bataille Bataille installé sous un bull très opportun.
Après ce moment de délibération, les membres présents comme les convives extérieurs au Cercle ont bu ensemble un apéritif généreusement offert par la société ACINQ, l’une des sociétés leader dans le domaine de la scalabilité de Bitcoin et qui, avec d’autres membres de la communauté, construit un standard ouvert pour Lightning Network.
À table les conversations, encore plus détendues que durant les repas de midi, ont tourné sur de très nombreux sujets, au premier rang desquels le « phénomène Libra ». Moins pour en discuter la conception que pour se réjouir des réactions des « politiques », bruyantes mais tardives. Même si certains convives, voyant la chose du côté de la puissance publique, ont apporté des éclairages intéressants. Les déclarations de la BRI, les stable coins « publics » ou « souverains » ont aussi fourni matière à échanges. Enfin, le cours grimpant du Bitcoin n’a pu qu’ajouter un peu d’euphorie supplémentaire à toutes ces discussions.
Quelques scoops ont été susurrés, une interview négocié (car des journalistes amis sont admis) mais le « repas » étant un évènement privé, il faudra attendre pour pouvoir relayer cela !
Parmi les sujets plus légers, la mésaventure d’une banque (connue pour son hostilité aux crypto monnaies) ayant crédité un client qui lui avait remis des billets de Monopoly a ouvert des débats fort techniques mais aussi provoqué beaucoup de plaisanteries sur le système « classique ».